nommée OPIUM
De ces contraintes tirées par le hasard quantique et probabiliste, nous sommes partis du postulat (contestable) suivant :
Quelque soit la puissance consommée par l’« amour » relatif mais non généralisé qui travail à rendre un mouvement non rectiligne et oscillatoire d’un boulette roulant à une « vitesse » négligeable devant la célérité (non contestable) de la lumière d’un corps en désir, il existe une frustration (non négligeable) découlant de la passion et de la fragilité de son état moléculaire instable mais atomiquement stable, puisque après absorption et digestion, la molécule est transformée, l’atome lui, reste non fissuré.
D’où les décisions suivantes :
- Faire une boulette de taille extrêmement réduite : frustrante et rapidement absorbée.
- travailler sur le désir et son rouge sang qui afflue dans le corps désireux.
- saisir sur un lit blanc, le sel de la vie instable.
- rafraîchir par eau fraîche l’ « amour » naissant.
Ingrédients
200 g de bœuf paradox haché
1/6 de piment rouge des caraïbes
1/6 de poivron rouge haché à l’extrême
3 cives blêmes
1 doigt de gingembre râpé
1 oignon frais et unique
1 couple de tomates cerises
poivre
Processus
Former une grande boule épaisse composée de tous les ingrédients amalgamés puis former des boulettes. Rouler les boulettes yang dans du pavot noir, les autres sont à fleur de chair.
Cuire à la poêle et sur un lit de gros sel.
Note de dégustation
Servir avec un verre d’eau à 5° ou un fond de vodka à la même température.